Pourtant, ça avait à peine commencé ;
Bannie de votre vie,
L'espoir en moi s'est effrité
C'est toutefois vous
Que j'aime plus que tout ;
Ce n'est de la faute à personne, excepté de la mienne,
Vous me blâmez donc dans la peine
Je recherche deux personnes que je ne verrais pas
La situation ne pourra changer, je suis sûre de ça ;
Mais même si jamais je ne m'en sort,
Je vous aimerais toujours aussi fort
Pleurant dans l'ombre,
Je m'aperçois que tout est sombre ;
La vie est loin d'être rose,
Je ne m'attends plus à un retournement des choses
Traversant la tristesse,
Il m'est nécessaire d'esquiver cette souffrance qui m'oppresse ;
Alors je me représente la vie
Telle que j'aimerais qu'elle soit, celle dont j'ai envie
Errant dans votre silence, étouffée,
Je galope à travers mes rêves, jusqu'à en être essoufflée ;
Lorsque je serais essoufflée, je courrais jusqu'à ce que j'en meure
Et que sur le sol, roule mon c½ur
Prise par l'émotion,
Mes pensées me procurent certaines sensations ;
Je me promène là où je ressens le besoin d'aller,
L'endroit qui m'est inaccessible en réalité
Le soleil de cet appartement
Rendent mes yeux pétillants ;
J'aime surtout les moments passés
Avec vous ; les lumières de la ville qui brillent en soirée
On court, on rit,
On est heureux, on s'amuse bien ;
Là-bas, je ne reste pas à pleurer dans mon coin,
Au contraire, ma vie est si saine à Paris.
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